Il
m’impose ses vertiges, ses terreurs, sa fureur,
Il
me tient dans l’angoisse,
M’humilie
comme une petite fille fautive.
Il
parasite mon cerveau,
Il
déforme mes artères,
Il
cogne en moi, contre moi,
Et
me laisse épuisée, dévastée par la peur.
Il
hoquète, il se bat lui aussi,
Contre
les angoisses que ma tête lui envoie.
Alors
libère-moi de cette peur et fais vite,
La détresse me ronge.
Demande
à ma tête de se calmer,
A
mes souvenirs de refluer…
Ce
flot d’angoisse qui m’emporte, déconnecte-le.
Fais
le taire, apaise mes artères.
Je
ne veux plus être la petite fille en larmes dans le miroir.
Je
ne veux plus pleurer après un mot d’espoir.
Je
ne veux plus convulser de terreur le soir.
Il faut que tu t’apaises, il faut que tu m’apaises,
Ou...
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